Votre compagnie d'assurance, <a href="https://oradour.fr/rubriques/demarches-administratives/?xml=F2149">après avoir été informée du sinistre</a>, va généralement faire <a href="https://oradour.fr/rubriques/demarches-administratives/?xml=F31268">réaliser une expertise</a>.
Elle mandate un de ses experts,qui sera en charge des missions suivantes :
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Identifier le véhicule, de constater les dommages et de contrôler leur vraisemblance avec les circonstances déclarées de l'accident
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Déterminer le ou les point(s) de choc
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Établir les possibilités de réparation (techniquement et économiquement)
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Valider le prix des réparations facturé par le garagiste
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Définir un éventuel taux de vétusté (sur les pneus ou le radiateur par exemple)
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De déterminer si le véhicule est économiquement réparable et, si ce n'est pas le cas, de chiffrer la valeur de l'épave
L'expert peut alors évaluer la valeur de remplacement à dire d'expert (<a href="https://oradour.fr/rubriques/demarches-administratives/?xml=R42901">Vrade</a>). Il s'agit de la valeur qui permet d'acheter un véhicule équivalent à celui de l'assuré, c'est-à-dire un véhicule du même âge, avec les mêmes caractéristiques et dans le même état.
Le rapport d'expertise, habituellement établi sous 8 à 12 <a href="https://oradour.fr/rubriques/demarches-administratives/?xml=R1092">jours calendaires</a>, est adressé à l'assuré et à l'assureur.
Si vous souhaitez contester les conclusions de l'expert, vous pouvez demander une contre-expertise, mais vous devrez régler les honoraires de cet expert.